Quelle saga je viens de clôturer, tout à l'image de Réjean Auger. Une saga très intéressante, diversifiée, et surtout avec des moments drôles, et même très drôles. Nous entrons dans un monde de fantastique, de clairvoyance, du spiritisme, de l'aventure, des quêtes. Dans cette quadrilogie, l'auteur amène des peuples avec leur croyance et leur culture à tout faire pour préserver leur identité quoiqu'ils doivent cheminer afin de se trouver un lieu ou vivre et pour répondre à leurs besoins, une terre promise en quelque sorte. L'histoire débute avec le personnage d'Alex Durante qui va se battre contre un frère de sang, tous les frères et les sœurs d'Alex ont des dons que nous allons découvrir et que chacun apprend à vivre avec et le maîtriser. Il va avoir un affrontement assez spectaculaire ce qui permet à Alex de déployer ses dons de clairvoyance et de dédoublement de son corps. C'est assez étrange pour lui, mais tout au long de la saga, il va les contrôler plus aisément. Il fouillera dans ses souvenirs des vingt dernières années où tout a commencé aux Monts Dorés sur la Terre des ténèbres.

Martine Lévesque

Une geste épique à la dimension des plus spirituelles... Un combat livré entre le bien et le mal, qui nous donne le goût d'en poursuivre la lecture et d'en connaître le sort. On s'entiche bien du personnage d'Alex Durante et d'Ombre Blanche, alias Valrand, dont la mission n'est autre que de trouver une « terre d'Éden » au sein d'un continent peuplé d'hordes de monstres toutes plus barbares les unes que les autres. Un bon roman fantasy, que je ne peux que vous conseiller de découvrir ! Un conflit dans les entrailles de la psyché humaine et au sein de celles des Ombres fumistes qui, tapies dans la noirceur, attendent leur heure. Comme le dirait Tolkien : « La volonté du Mal ruine souvent le Mal », autant dans l'adversité de la compagnie avec ses maints conflits internes, que dans l'esprit des enténébrés assoiffés de sang qui finissent écrasés sous le poids de la lumière de Valrand ainsi que de celle d'Alex Durante, accompagnés de leurs multiples alliés. Je rajoute cette citation à mon commentaire, ce qui rappellera peut-être l'insertion que j'en ai faite moi-même au sein du roman Les Enfants de Virginia Beach : « Quand on n'a pas son compte dans un monde, on le trouve dans un autre. » (Voltaire, in Candide)William Emmanuel, auteur Le dimanche 17 mars 2019.

William Emmanuel Lacoursière

J'ai bcp aimé "Les monts dorés". Alors là, je suis plus que surprise. Tu as bcp d'imagination et ton récit est fascinant. Malgré le fait que j'ai eue un peu de difficulté à embarquer au début, cette histoire est remplie de rebondissements inattendus, mêlée d'humour à travers le côté dramatique a fait qu'il fallait que je poursuivre la lecture. Tes dialogues et tes descriptions sont bien présentées et savoureuses. Je dois te dire que je suis impressionnée et BRAVO!!! Sur ce, passe une belle journée et merci pour ce beau cadeau, xxx

Francine Lessard

C'est le début d'un long, très long voyage dans le monde de l'imaginaire prolifique, pour ne pas dire foisonnant de l'auteur. Les dialogues sont construits avec talent. Le récit est rythmé avec adresse. Les amateurs d’aventures fantastiques sont très bien servis.

Danielle Robineau