Indirectum,directum et rectum

J.F. Loyer
 

Au premier abord, soit ce Montréalais d’origine est un passionné d’écriture rempli d’idées saugrenues, soit il est un mollusque. Après constatation que celui-ci a des jambes, nous devons donc rejeter la deuxième hypothèse.

Depuis toujours, l’amour de l’écriture et des mots a meublé son quotidien. La langue française est un concerto de mots trop riches pour ne pas s’amuser à faire valser les verbes transitifs avec les compléments d’objet direct. Son chant d’allégresse est le reflet d’un soleil étincelant sur un océan d’allégories.

Photographe amateur à ses heures, J.F. aime par-dessus tout illustrer ses observations sur la vie et les gens, peu importe le médium. S’il écrit, c’est d’abord et avant tout pour répondre à un besoin : celui de faire sortir de sa tête toutes ces idées afin de laisser de l’espace pour des nouvelles. Et force est d’admettre que le processus lui apporte le même plaisir que le père Noël qui descend par la cheminée d’une usine de biscuits.

 
J.F. Loyer est enseignant en infographie. Il est également illustrateur, bédéiste et photo­graphe amateur. Il n’est ni psychologue ni philosophe.
 
Résumé du roman:
 

Ce roman se déroule entièrement dans la tête d’un homme prénommé Olivier. L’histoire débute à la seconde près où celui-ci se réveille le matin, et se termine au moment où il s’endort à la fin de sa journée. Chacun de ses gestes, à chaque instant, sera observé de l’intérieur ; un accès illimité à ses réflexions qui dirigent toutes les décisions de sa journée.

Camouflés dans l’ombre de l’inconscient, ces bouleversements consensuels qui s’évertuent à nous influencer passent généralement inaperçus dans notre quotidien. Alors si, pour une fois, on portait attention à toutes ces observations et ces questionnements? Si l’on entendait les différentes voix que chaque être humain possède? Force est d’admettre que si cela pouvait être possible, nous deviendrions tous fous avant la fin de la journée!

Dans ce roman, la raison, l’émotion et l’instinct d’Olivier discutent ensemble, argumentent et se disputent quant aux choix à faire avant de statuer sur la ligne directrice à adopter. À certaines occasions, le chemin à emprunter est aisé, mais souvent le processus décisionnel peut s’avérer tout aussi douloureux que de s’insérer un suppositoire trempé dans le Tabasco.

 

Si le vous intéresse communiqué avec l’auteur : jfloyer.auteur@gmail.com